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J’ai pris l’habitude de vous narrer tant bien que mal, -plutôt mal que bien d’ailleurs- nos sorties hebdomadaires
Mais aujourd’hui, devant moi, la page demeure désespérément blanche.
De quelle manière devrai-je commenter cette randonnée Coutançaise ?
Rien de ce que je pourrais vous rapporter ne remplacera les sensations visuelles ou olfactives que vous avez pu ressentir, du moins je l’espère.
Que vous dire alors, sinon que pour ma part, chaque fois que je me retrouve sur les sentiers Coutançais, c’est un éternel ravissement, voire une réelle et totale jouissance du corps et de l’esprit.
Je ne sais pourquoi, mais c’est ainsi, je ne parviens pas à me fatiguer de ces magnifiques circuits qui ceinturent la ville de Coutances.
C’est bien volontiers, que j’en oublie les côtes qu’il a fallu gravir, fussent-elles abruptes, comme elles le sont en ces lieux.
Lorsque arrivé sur les sommets, se profilent devant mes yeux les flèches élancées de la prestigieuse cathédrale du XIIIe siècle, cernée sur ses flancs par les églises St Nicolas et St Pierre, la fatigue ressentie laisse la place à l’émerveillement.
Heureux que je suis de me trouver en cet endroit, à ce moment précis de ma vie..
Coutances, la capitale historique du Cotentin est là, devant moi, perchée elle même sur une colline, ce qui la rend encore plus imposante et magnifique.
Il est impossible de la rater, car quelque soit notre plongeon dans le bocage au relief si accidenté, il n’est pas un chemin qui ne nous ramène à la vision de cette ville.
Si malgré tout, elle vous a échappé, alors, je ne saurais trop vous conseiller d’aller consulter dare-dare, l’ophtalmologiste de votre choix.
Qui peut également rester insensible au charme de ces chemins creux, ou encore à la découverte de fermes fortifiées, et de ces églises et manoirs qui font le charme de la cité ?.
Après cette randonnée, lequel d’entre vous pourra oublier le Prépont à l’est, la Soulle au sud et le Bulsard à l’ouest, ces trois rivières qui enserrent le site de la ville.
Dans le cadre printanier qui a été le nôtre ce mardi, les méandres de ces cours d’eau, n’engendrent-ils pas chez vous une quelconque rêverie ?
Pour ma part, je m'y laisse aller très volontiers.
Un besoin de m’évader plus que tout autre ?
Peut-être ? Je ne le sais.
Clown qui rit, clown qui pleure.
J’ai tant besoin de ces moments d’évasion, que peut-être, je magnifie exagérément ces moments que d'autres trouveront fort anodins.
Qu’importe, je ne m'autorise pas à bouder le plaisir de bonheurs simples qui me font oublier un instant les tracas de la vie.
Des fleurs, des jardins, un plan d'eau, un oiseau qui chante, quelques sourires ne suffisent-ils pas à adoucir la vie ?.
Quoi de plus beau, en effet ?
Il ne m'en faut pas davantage pour renouer avec des rêves enfantins. Ainsi va l'existence, mon existence !
Rêvassant, j’en oublierais presque de vous dire que nous étions 81 à parcourir les 12km200 de ce circuit (l’infaillibilité du GPS de Christian, ne se discute pas).
Il m'importe également de vous signaler, que pour une fois, nous n’avons pas eu besoin d’attendre Agnès.
Anodin, me direz vous ?
Mais non, le fait mérite d’être signalé, car ne parlons nous pas toujours des trains qui arrivent en retard, alors que nous ne disons rien de ceux qui arrivent à l’heure ?
Et bien voila, c'est un fait, Agnès, pour une fois était en avance sur l’horaire.
Bigre, comment a t-elle fait ?
Encore un mystère qu’il faudra bien percer un jour.
Enigmatique Agnès ?
En tout cas, avec elle, les fleurs n’ont qu’à bien se tenir, tant la cueillette semble être sa distraction favorite, si j’en juge par le bouquet qu’elle arborait fièrement, une fois de plus.
Je ne voudrais pas terminer cette prose sans vous dire que c’est Thierry et Viviane qui nous ont fait découvrir le charme des trois vallées Coutançaises.
De même, je voudrais vous faire partager l’émotion (partagée) de Michel, qui rencontre des problèmes de santé l’éloignant de nos circuits depuis plusieurs semaines.
De sa maison juchée au dessus de l'une de ces vallées, il a mis un point d'honneur à nous saluer, lors de notre passage en contre-bas.
J'ai cru deviner combien il était malheureux, de ne pas pouvoir être avec nous, lui le marcheur infatigable, qu'il était, il n'y a pas si longtemps.
Michel, si tu me lis, c'est au nom de tous que je te souhaite un prompt rétablissement.
Nous attendons ton prochain retour.
Sache que ton absence aussi regrettée soit-elle ne m’empêche pas de continuer à taquiner, ta chère Yvette, tu sais, cette " petite " " blonde "qui en plus est d’origine " Belge ".
A ce sujet, je dois te dire que malgré le temps qui passe, je n’ai pas encore compris qu'elle puisse cumuler autant d'imperfections.
Certes, c’est bien connu la perfection n’existe pas, mais à ce point........ franchement !
Ah, malgré tout, je dois lui reconnaitre une grande qualité. Mais oui ça peut arriver, même à une petite blonde belge. Elle a bon caractère.
Ouf, c'est heureux pour moi.
Voilà arrivé le soleil
Et je suis là, à écrire.
La page était blanche
Elle est à présent noircie.
S’il vous a pris de me lire jusqu’au bout, vous aurez fait preuve de beaucoup de courage, et dans ce cas, je vous remercie de cette témérité.
Mardi, nous serons sur les chemins de Millières.
Rendez-vous sur le parking du stade pour un circuit de 8 à 10 km.
André
Clown qui rit, clown qui pleure.
J’ai tant besoin de ces moments d’évasion, que peut-être, je magnifie exagérément ces moments que d'autres trouveront fort anodins.
Qu’importe, je ne m'autorise pas à bouder le plaisir de bonheurs simples qui me font oublier un instant les tracas de la vie.
Des fleurs, des jardins, un plan d'eau, un oiseau qui chante, quelques sourires ne suffisent-ils pas à adoucir la vie ?.
Quoi de plus beau, en effet ?
Il ne m'en faut pas davantage pour renouer avec des rêves enfantins. Ainsi va l'existence, mon existence !
Rêvassant, j’en oublierais presque de vous dire que nous étions 81 à parcourir les 12km200 de ce circuit (l’infaillibilité du GPS de Christian, ne se discute pas).
Il m'importe également de vous signaler, que pour une fois, nous n’avons pas eu besoin d’attendre Agnès.
Anodin, me direz vous ?
Mais non, le fait mérite d’être signalé, car ne parlons nous pas toujours des trains qui arrivent en retard, alors que nous ne disons rien de ceux qui arrivent à l’heure ?
Et bien voila, c'est un fait, Agnès, pour une fois était en avance sur l’horaire.
Bigre, comment a t-elle fait ?
Encore un mystère qu’il faudra bien percer un jour.
Enigmatique Agnès ?
En tout cas, avec elle, les fleurs n’ont qu’à bien se tenir, tant la cueillette semble être sa distraction favorite, si j’en juge par le bouquet qu’elle arborait fièrement, une fois de plus.
Je ne voudrais pas terminer cette prose sans vous dire que c’est Thierry et Viviane qui nous ont fait découvrir le charme des trois vallées Coutançaises.
De même, je voudrais vous faire partager l’émotion (partagée) de Michel, qui rencontre des problèmes de santé l’éloignant de nos circuits depuis plusieurs semaines.
De sa maison juchée au dessus de l'une de ces vallées, il a mis un point d'honneur à nous saluer, lors de notre passage en contre-bas.
J'ai cru deviner combien il était malheureux, de ne pas pouvoir être avec nous, lui le marcheur infatigable, qu'il était, il n'y a pas si longtemps.
Michel, si tu me lis, c'est au nom de tous que je te souhaite un prompt rétablissement.
Nous attendons ton prochain retour.
Sache que ton absence aussi regrettée soit-elle ne m’empêche pas de continuer à taquiner, ta chère Yvette, tu sais, cette " petite " " blonde "qui en plus est d’origine " Belge ".
A ce sujet, je dois te dire que malgré le temps qui passe, je n’ai pas encore compris qu'elle puisse cumuler autant d'imperfections.
Certes, c’est bien connu la perfection n’existe pas, mais à ce point........ franchement !
Ah, malgré tout, je dois lui reconnaitre une grande qualité. Mais oui ça peut arriver, même à une petite blonde belge. Elle a bon caractère.
Ouf, c'est heureux pour moi.
Voilà arrivé le soleil
Et je suis là, à écrire.
La page était blanche
Elle est à présent noircie.
S’il vous a pris de me lire jusqu’au bout, vous aurez fait preuve de beaucoup de courage, et dans ce cas, je vous remercie de cette témérité.
Mardi, nous serons sur les chemins de Millières.
Rendez-vous sur le parking du stade pour un circuit de 8 à 10 km.
André
2 commentaires:
Merci André d'avoir si bien rendu le coté exceptionnel de cette randonnée.
Evelyne et Christian
Merci de vos encouragements.
Peut-être suis-je devenu trop sensible, mais je puis vous assurer qu'ils me vont droit au coeur.
Depuis votre commentaire, j'ai apporté quelques améliorations au texte, dans lequel j'avais décelé quelques fautes.
J'espère que ce n'est plus le cas.
Je vais maintenant insérer 1 ou 2 photos dans ce texte.
André
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