mardi 30 juin 2009

Lessay

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mercredi 24 juin 2009

Randos d'été

Reprise aujourd'hui des randonnées estivales
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Les randos estivales sont ouvertes à tous n'hésitez pas à inviter vos voisins, vos amis, votre famille.

mardi 23 juin 2009

Saint Martin de Bréhal

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mardi 16 juin 2009

Regnéville-sur-Mer

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"Regnéville-sur-Mer est une commune située dans le département de la Manche (région de Basse-Normandie). La ville de Regnéville-sur-Mer appartient au canton de Montmartin-sur-Mer et à l'arrondissement de Coutances. Les habitants de Regnéville-sur-Mer s'appellent les Regnévillais et étaient au nombre de 790 au recensement de 1999. La superficie est de 8.3 km².
Elle se situe géographiquement à une altitude de 22 mètres environ.
Son charmant petit port d'échouage au bout du havre de la Sienne, face à la Pointe d'Agon eut par le passé une importance considérable.

C'est par là que transitait le charbon d'Angleterre et du Pays de Galles.
Ce fut aussi une place forte stratégique pendant l'occupation anglaise au début du XIVème siècle.
Aujourd'hui, quelques villas style "Belle Époque", années 30, côtoient de belles demeures anciennes en pierre de Montmartin (calcaire). Le village est fort peu urbanisé, au charme gentiment désuet, livrant mille et une occasions de ballades sur ses grèves ; panorama unique sur la Baie.
A VOIR :
Le musée de Regnéville et les Fours à chaux du Rey : tout sur la vie maritime du temps où Regnéville était un port important ; reconstitution de la dernière corderie ; vestiges de bateaux qui transportaient les pierres, "Doris" de la région.
L'église, superbe, date du XIIème siècle.
Le château, élevé au XIIème, témoigne de l'importance stratégique du plus grand port régional de l'époque. Malgré les destructions dues à Richelieu, il conserve encore fière allure.

Le château médiéval de Regnéville, implanté au bord du havre de la Sienne est une forteresse du XIVe siècle destinée à protéger l'important port d'échouage de Regnéville sur Mer, l'un des plus actifs du Cotentin, du Moyen-âge jusqu'au XVIIe siècle. En partie démantelé à la fin de la Guerre de Cent Ans, il a été profondément remanié au XVII et XVIIIe siècle. Aujourd'hui propriété du Conseil général de la Manche, des campagnes de fouilles et des travaux de restauration lui redonnent progressivement vie"

Si Paris vaut bien une messe, selon une célèbre citation du Roi Henri IV, Regnéville, à coup sûr, mérite que l’on y fasse étape.
C’est ce qu’ont sans doute pensé les soixante trois marcheurs qui ont fait le choix de venir sillonner les rues et sentiers de la cité, ce mardi.
Cerise sur le gâteau, l’astre solaire avait décidé de se montrer très généreux, dardant chacun de ses chauds rayons. J’en connais au moins un qui en gardera un souvenir cuisant.
Un nom ?
Comme on ne tire pas sur une ambulance, par charité chrétienne, je tairai l’identité de ce " malheureux ".
Mais vraiment quelle imprudence de s’exposer de la sorte. ?
En peu de temps, la peau blanche est devenue cramoisie.
Rappelez vous votre grand-mère lorsqu’elle vous cuisait des écrevisses, et vous aurez une idée de ce que cela donne ! Ah bon ! Je vois beaucoup d’entre vous n’ont jamais vu d’écrevisses.
Fines bouches que vous êtes, c’est que sans doute, dans vos assiettes, on trouve plutôt du homard. Bon ce n'est pas grave, car cuit, question couleur c’est la même chose.
Oh, elle peut bien rire la petite " Mimi ". Elle qui étale son bronzage de janvier à décembre, à vous en rendre jaloux.

Pour sûr, qu’elle doit être en relations très suivies avec le Dieu soleil..
Au fait, nous ne l’avions pas vue dans nos randonnées depuis un bon bout de temps, à croire qu’elle ne se sent des ailes, que lorsque l’astre brille de tous ses feux.
Ah ! J’ai encore " cafardé ". Mauvais camarade. C’est plus fort que moi.
La preuve, si je vous dis encore que cela faisait un petit moment que l’on n’ avait pas revu Ange et Mireille.
Encore des lâcheurs.

Plaisir de les revoir à Regnéville.
Daniel, lui, est de toutes les sorties. Normal, c’est le Président.
Pourtant, on aurait pu penser qu’il ne survivrait pas à la sortie de Condé sur Noireau.,où il avait vécu tant de péripéties qui auraient dû le marquer à tout jamais.
Mais non, il nous est revenu ragaillardi, comme si les épreuves passées lui avaient insufflé une seconde jeunesse.
Tant mieux, car comme l’a dit, si justement Agnès, que ferions nous sans notre Président ?
Et si Agnès le dit, cela doit être " ben " vrai, comme l’aurait affirmé, elle aussi, en son temps, la brave Mère Denis.
Ah Agnès, parlons en. Tout un poème à elle seule.

Star, parmi les stars, aimant prendre la pose au milieu des fleurs, ces fleurs qu’elle semble aimer par dessus tout au point de vouloir sans cesse les cueillir pour s’en faire un joli bouquet..
Une fois de plus, nous la verrons sur les photos. Que les esprits chagrins n’y voient pas un quelconque favoritisme. Que voulez vous, ce sont les célébrités qui font vendre le papier, et ce n’est pas de ma faute si Agnès a acquis une telle notoriété au sein de nos randonnées, qu’elle anime il est vrai par son naturel enjoué.
Pas encore tout à fait prête a monter les marches du festival de Cannes ?
L’espoir fait vivre !
J’aurais mauvaise grâce a refermer ce journal sans vous parler de Christian.
Agnès disait "que ferions nous sans notre Président ".
J’ajoute " mais que ferions nous sans Christian ".
Pierre angulaire de l’association, nous lui devons les tracés de nos circuits. Toujours à l’avant-garde. Toujours disponible (avec Evelyne )pour effectuer les reconnaissances de nos randos.
Qui se doute de la somme de travail réalisée pour nous apporter la satisfaction que chacun d'entre nous escompte ?
A Regnéville, une fois de plus, c’est lui qui nous a menés tout au long d’un tracé plaisant .
Droit dans ses bottes (je veux dire chaussures) il prend sa tâche avec tellement de sérieux, que ce ne sont pas les rires espiègles de certaines vamps qui pourraient le détourner de sa mission.
Et ce soir encore, il aura à cœur de mettre les photos en ligne.

Gloire à cette figure de proue, ce combattant de l’ombre, celui sans qui rien de ce qui se fait aujourd’hui ne serait pareil. (Vérité de La Palice)
Merci pour ce voyage autour de Regnéville.
Un beau parcours de 10 km.

Aïe, je sens qu’il est furieux que je parle ainsi de lui.
Qu’est-ce que je vais encore entendre ?
Bof , j’ai l’habitude d’encaisser, et j'aime ça.

Maso, alors ?
Peut-être !

Tiens au fait, c’est encore Christian et Evelyne qui vous conduiront mardi prochain à St Martin de Bréhal pour deux boucles de 10/12 km chacune.9h30 et 14h15


Sacré Christian.( et Evelyne)
Et encore eux le lendemain pour la premiière rando crépusculaire à Heugueville (20h)

Quand, je vous dis que ce Christian, c’est un phénomène !

André


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mardi 9 juin 2009

Condé sur Noireau

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"Dans le Calvados, (région de Basse-Normandie). à la limite du département de l'Orne, Condé sur Noireau est au cœur du Bocage normand
Le Noireau sépare Condé de Saint-Pierre-du-Regard. En réalité, la rivière ceinture une partie de la cité qui aurait du s'appeler Condé Druance, en hommage au cours d'eau qui la traverse
La ville de Condé-sur-Noireau est le chef lieu de canton de Condé-sur-Noireau et appartient à l'arrondissement de Vire. Les habitants de Condé-sur-Noireau s'appellent les Condéens Condéennes et étaient au nombre de 5820 au recensement de 1999. La superficie est de 12.5 km².
Elle se situe géographiquement à une altitude de 80 mètres environ.
Deux axes routiers divisent Condé en quatre parties; l'un relie Caen à Laval, l'autre Vire à Athis. Le "Rond Point de la Victoire" désigne le carrefour autrefois dénommé "Tourne Bride", au temps des chevaux
Dès le XVIIIe siècle, Condé est l’une des cités les plus actives du département. La majeure partie des habitants se consacre alors à la fabrication de la toile, des draps et du lin
. La coutellerie est également réputée.
Au début du XIXe siècle, les petites filatures hydrauliques s’installent à Condé. La première imprimerie date de 1829.
Dans les années 1860, la ville est à l’apogée de son développement économique avec une grande industrie textile
(on compte alors 55 filatures hydrauliques, 8 000 métiers à tisser) à laquelle s’ajoute un artisanat très actif. Elle obtient en 1868, pour accompagner ce développement, la création du Chemin de fer de la Suisse Normande partant de Flers et rejoignant Caen en 1874.
Avec la seconde guerre mondiale
, Condé connaît ses heures les plus tragiques. La ville est détruite à 95% par les bombardements qui feront au total 252 victimes. La reconstruction de la ville s’achève en 1963 avec l’inauguration de l’hôtel de ville.
Condé-sur-Noireau devient alors la " filleule de guerre " de la ville de Vincennes
(Val-de-Marne), qui aida à sa reconstruction".

"Situé au cœur du bocage normand, près de Condé-sur-Noireau,dans la vallée de la Druance, le domaine de Pontécoulant est formé de différents bâtiments. La famille Le Doulcet de Pontécoulant s'y est établie au XIVème siècle.
Le château fut construit au XVIème siècle à l'emplacement d'une ancienne maison forte, et agrandi et réaménagé dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, pour devenir la résidence d’été de la famille de Pontécoulant qui vit alors à Caen et à Paris..
Décors, mobilier et objets familiers sont les témoins du mode de vie de cette famille aristocratique telle qu’elle vécut à la fin du XVIIIe siècle et durant le XIXe siècle.
La salle à manger, le grand salon, la salle de billard et les chambres présentent des meubles d’origines diverses : mobilier français aux estampilles renommées, mobilier exotique, mobilier régional témoignant à la fois d’un goût certain pour les voyages et d’un réel attachement à cette région.
Les pavillons du garde-chasse et du jardinier, le colombier, la ferme et le parc sont représentatifs de la noblesse.
Création du musée ...
En 1896, la dernière descendante de la famille légua le domaine au département, avec la volonté d’ouvrir le monument au public. Le musée fut créé en 1908. Pour terminer agréablement la visite du château, un parc paysager invite à la promenade, offrant de beaux points de vue sur la Druance".

Fichtre ,les randonneurs n’ont pas été nombreux à se rendre à cette randonnée programmée à Condé sur Noireau
Pensez donc, le matin, sur le lieu du départ nous n’étions que treize, puis finalement dix huit à l’heure de l’apéro.
Esprits chagrins que la distance et la pluie qui menaçait a effrayés au point de préférer rester confinés chez vous,

Sachez que vous avez eu tort, car dès le départ , la pluie s’est arrêtée, et c’est le soleil qui a été au rendez-vous.
Comme à leur habitude, Jean-Claude et Alain, nos deux chefs de file , nous avaient mitonné un superbe circuit..
Dans leur sillage, le petit groupe a pu parcourir les coteaux aux versants boisés, sans connaître le moindre ennui
Car, randonnant dans un écrin paysager aux mille couleurs, les yeux ne pouvaient se lasser d’un site aussi sublime
Où se mélangeaient champs et bois dans les confins de ce superbe bocage normand , avec la bonne humeur en prime
Oh ! certes le relief accidenté a brisé plus d’un élan. C’est qu’il y en avait des côtes.
Pour s’en convaincre, il n’était que voir le pauvre Daniel ahanant en se tenant les côtes
Pauvre Président en peine et qui au moindre arrêt cherchait un endroit pour goûter un trop bref repos
Instants immortalisés par nos incorrigibles photographes dont sur ce site, vous pourrez voir les photos.
Dix kilomètres auront été parcourus le matin avant de s’arrêter pour un pique-nique réparateur
Au pied du château de Pontécoulant, bâtisse du XVI ème siècle, affichant toute sa splendeur
Endroit séculaire qui n’a pas empêché nos courageux marcheurs à lever les verres tout à la joie,
De se retrouver en toute confraternité, dans un site, où ne pouvait être admis un quelconque rabat-joie.
Il aurait été sans doute agréable de terminer l’après-midi, tous étendus sur la pelouse fraîchement tondue
Mais c’était sans compter sur l’intransigeance de Jean-Claude, pour qui, aucune minute ne doit être perdue
C’est donc, les jambes lourdes qu’il a fallu se redresser pour repartir à l’assaut des collines environnantes
Souffrances physiques pour certains, largement compensées par des paysages et une solidarité qui enchantent
Accompagnés d’un généreux soleil, ce furent donc quinze kilomètres qui auront été parcourus tout cet après-midi.
Petits hameaux traversés, courtes haltes aux sommets, complicités d’un moment, et après l’effort visages ébaudis.

Le bonheur ne fut pas moins grand de retrouver le parking de l’hôtel de ville car après vingt cinq .kilomètres
Les corps étaient perclus par autant de fatigue, et augmenter la longueur du trajet aurait risqué de compromettre,
La santé d’un Président qui depuis longtemps déclarait forfait
Et pour qui le mot fin sonnait comme un indicible bienfait .


A Mardi à Regnéville sur Mer sous la conduite d’Evelyne et Christian,
Pour un parcours de 8 à 10 kilomètres , qui n’autorise au
cun défaillant


André

Condé sur Noireau "diaporama"


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mardi 2 juin 2009

Montsurvent

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Sur les chemins de Montsurvent
Derrière, Corinne et Huguette
Cinquante marcheurs tous fervents
Certains prêts à leur conter fleurette
Alors qu’elles ne pensent qu’a vous amener
Sur tous les chemins aux alentours
Hélas, bientôt c’est la débâcle, mais la " ramener "
N’est pas de bon ton, et faire demi-tour
Encore moins apprécié
Plan à la main, elle rame, notre brave Corinne
Mais il serait outrancier
De lui en vouloir, car elle fait ce qu’elle peut
Et tant pis pour ceux que cela chagrine
Huit kilomètres prévus, oh ! sauve qui peut
Bientôt ce sera dix puis douze
Pauvre Gustave, il faut voir ta bobine
Plus dur que tondre ta pelouse
Tu voulais voir Montsurvent
Mais n’est-il pas captivant
De voir en prime Servigny
Et toujours en bonne compagnie
La Mairie et le beau clocher d’Ancteville
Dont, c’est sûr, tu garderas un souvenir indélébile

C’est Agnès, qui veut poser devant les roses
Toute d’innocence et fraîcheur puérile
Tandis qu’Abel à ses côtés semble morose
Assagi après ses récents exploits à Hyenville

Le Président autrefois couturé
Semble maintenant bien réparé

Ange est parti avec sa Mireille pour une lointaine croisière,
Mais Jacky est là qui le remplace et fait don de sa personne
Offrant son corps comme un bouclier. Précieux auxiliaire
Veillant à la sécurité de tous, et que rien ni personne
Ne saurait dévoyer de sa nouvelle mission
Qu’il honore avec fougue et passion

Qu’ils sont loin aussi les Christian, Evelyne, Thérèse
Et tant d’autres que j’en oublierais aussi Andrée
Ils nous auront manqué en filant ainsi à l’Anglaise
Mais peut-être au moins, ils nous reviendront revigorés
D’endroits divers qu’ils croyaient meilleurs
Que nos beaux chemins. Grossière erreur.

Bref, Corinne ne nous a pas perdus
Et cela c’est tout à fait inattendu
Le beau temps était au rendez-vous
Tout était bien, je vous l’avoue.

Le tout petit poète
Et ses œuvrettes
Oui hélas, c’est encore André
Mais ça vous l’aurez subodoré

Sans rancune