mardi 27 janvier 2009

St Malo de la Lande

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Un peu d'histoire :
Saint Malo-de-la-Lande est ainsi appelé en l'honneur de Sanctus Machutus, alias, en Bretagne, Saint Mâlo, comme l'attestent les noms de la cité corsaire d'Ille-et-Vilaine (...) .De la Lande , Pourquoi ce déterminatif ? Parce que autrefois il y avait à Saint-Malo de ces étendues de friches, envahies d'ajoncs et de fougères, inaptes aux labours et qui n'offraient, avant la Révolution, que de médiocres pacages pour menu bétail. Le cahier de doléances rédigé le premier mars 1789 en constate l'existence pour expliquer la nécessité où se trouvent les Malouins de se diriger vers les professions maritimes.La toponymie malouine a conservé le souvenir de ces landes aujourd'hui défrichées puisqu'il existe encore un lieu-dit "La plate Lande". (Extrait de la monographie de Serge Desoulle - St Malo de la Lande).


Le brouillard qui s’était installé depuis potron-minet allait-il freiner l’ardeur de nos amis randonneurs ?
Vu les conditions météorologiques, il n’était pas saugrenu de se poser la question.
Mais il faut croire qu’il en fallait davantage pour décourager les adhérents de l’association.
En effet, faisant fi des intempéries, soixante dix neuf impénitents n’ont pas hésité à faire le déplacement ce mardi après-midi.
Après les indispensables consignes de sécurité édictées par Daniel, notre Président, Jean-François en bon soldat a emmené sa troupe dans son sillage.
Lorsque nos volontaires avaient fait la reconnaissance du circuit quelque temps auparavant, nous sortions d’une période de gel, et de ce fait, les chemins étaient bien secs, mais les fortes pluie des derniers jours, avaient depuis lors changé quelque peu la physionomie de certains passages.
Les bottes n’étaient donc pas superflues.
Heureusement, un grand nombre d’entre nous avait eu la sagesse de s’en munir.
Cependant, rien de catastrophique, si ce n’est que les quelques malheureux qui n’avaient pas pris cette précaution en seront quittes pour un bon brossage de leurs chaussures, et nettoyage des pantalons.
Agnès, se sentira visée, elle qui, quelles que soient les circonstances, se refuse à porter des bottes, avec sans doute le secret espoir qu’un preux chevalier se précipite à son secours lors des passages difficiles.
Ma pauvre dame les temps de la chevalerie sont bien révolus.
Autres temps, autres mœurs.
De nos jours, les valeurs ne sont plus ce qu’elles étaient, la galanterie ayant laissé le pas à la goujaterie.
Dorénavant, il vous faudra donc prendre les précautions, les plus élémentaires.
Non, je plaisante, car la solidarité est bien dans l’esprit de notre monde associatif.
Vous pouvez d’ailleurs constater que malgré le brouillard, aucun de vous n’a été déclaré perdu sur le trajet.
Bel exploit, reconnaissez le.
Il est vrai que Jean-Claude, Ange, Thérèse, et Daniel veillaient au grain, et qu’il vous était impossible de vous soustraire à leur vigilance.

Seul aléa notable, survenu à quelques encablures du terme de notre périple, une randonneuse a voulu tester la solidité d’un poteau malencontreusement placé sur le trottoir.
Comme il fallait s’y attendre, le poteau n’a subi aucune dégradation.
Il en a été tout autrement de notre pauvre adhérente qui s’est retrouvée au sol, héritant du même coup, d’une belle ecchymose sur le front.
Qui a dit que la randonnée était une activité sans risques ?
Demain, la bosse aura sans doute disparu, et ce ne sera plus qu’un mauvais souvenir
Bien évidemment, nous adressons toute notre sympathie à la victime.
.
Après des semaines d’absence, pour raisons médicales, nous avons eu le plaisir de retrouver Jeannine et Josette, qui ont avalé les 9 km de cette randonnée sans coup férir.
Je tenais à saluer leur retour, prémisses pour elles de nouvelles aventures au sein de notre groupe.

A tous, je donne rendez-vous le 3 février à St Michel de la Pierre.
Ayant participé le lundi 26 à la reconnaissance, je vous recommande le port des bottes.
André

C'est lorsque vous avez chaussé vos pantoufles que vous rêvez d'aventure.
En pleine aventure, vous avez la nostalgie de vos pantoufles.
(Thornton Wilder)


vendredi 23 janvier 2009

Reconnaissance St Malo de la Lande

Pour la randonnée du 27 janvier.

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mardi 20 janvier 2009

Créances Plage






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Créances est une commune située dans le département de la Manche (région de Basse-Normandie). La ville de Créances appartient au canton de Lessay et à l'arrondissement de Coutances. Les habitants de Créances s'appellent les Créançais et étaient au nombre de 2014 au recensement de 1999.

Ce mardi, nous étions 72 randonneurs pour un circuit de 11km 500
Nous avons bénéficié d’un temps convenable, si ce n’est une petite ondée, juste bonne à perturber les plus timorés qui ont cru bon d’ouvrir leurs parapluies. Cette averse a eu le mérite de nous gratifier de deux magnifiques arcs-en-ciel.
Thérèse et Jean-François étaient les organisateurs de cette randonnée, et c’est derrière ce dernier que nous nous sommes engagés, tout d’abord dans les mielles, pour finir ensuite dans le massif dunaire de Créances.
La particularité d’une promenade dans les mielles, c’est de voir d’innombrables parcelles cultivées, où le poireau et la carotte sont rois.
Lesquels d’entre vous n’ont pas entendu parler des fameuses carottes de Créances ?
Elles sont cultivées sur un ancien sol marin totalement sableux et bénéficient de l'influence de la mer, grâce aux embruns qui viennent fouetter la côte.
De plus, leur consommation, outre le fait qu’elle convient pour la santé, présente à ce que l’on dit l’avantage de rendre aimable.
Ce dernier point exposé, je dois vous faire l’aveu que je n’aime pas les carottes. Alors, si vous ne me trouvez pas toujours aimable, vous savez maintenant pourquoi. (A bon entendeur, salut)
Quittant les mielles et ses cultures maraîchères, Jean-François nous a emmené dans les dunes.
C’est ainsi que nous avons pu longer le havre de Saint-Germain-sur-Ay dont le sentier littoral est jalonné de points d’informations sur la faune et la flore riches en variétés.
Si nos randonnées nous laissaient un peu de temps pour lire ces informations, nous aurions su que nous étions sur un site classé abritant une faune sauvage intéressante, canards, hérons, aigrettes et bernaches et une flore adaptée aux milieux saumâtres: salicornes, puccinelles.
Maintenant vous le savez, puisque je vous apporte l’information.

Nous avons suivi, jusqu'à la pointe du Becquet, en direction de la cale de la mer.
Voyant Daniel se pencher à un endroit de la dune, je me suis approché, et il m’a fait remarquer à quel point elle était attaquée, ce que j’ai pu constater à mon tour.
Renseignements pris, effectivement à cet endroit le cordon dunaire disparaît, tandis que le Havre de Lessay se ferme.
En 1998, le cordon dunaire de Créances entre la cale de la mer et la pointe du Becquet au nord a reculé de 14 m
Et cela continue.
Il convient de réaliser des aménagements de protection.
La nature est un bien précieux qu’il serait dommage de sacrifier pour des intérêts mercantiles.
Si vous, comme moi, nous randonnons, c’est que nous nous sentons proches de la nature, et que nous soyons randonneurs, à Dunes et Bocage, ou ailleurs, nous comprenons tous combien il est nécessaire de préserver ce bien commun à toutes les générations.
A mardi
André

samedi 17 janvier 2009

Reconnaissance Créances pour rando mardi 20

~= 11km800

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mardi 13 janvier 2009

Gouville sur Mer

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Sur Diaporama les vues ont des légendes.


Il faisait beau ce mardi 13 janvier.
Les conditions étaient donc optimales pour la réussite de notre randonnée hebdomadaire.
Rendez vous avait été pris sur le parking de la salle des fêtes de Gouville-sur Mer.
Après que notre Président eut édicté les inévitables consignes de sécurité et donné le signal du départ, nous nous sommes engagés dans son sillage.
Nous étions 71 randonneurs à nous égailler dans les chemins et sentiers de la commune.
Comme toujours la bonne humeur était au rendez-vous.
Michelle et Marie-Jeanne devaient extérioriser leur joie de vivre, si communicative..
Alex qui, lui n’est pas à une facétie près avait revêtu une cape noire, qui selon certains lui donnait un air de prêtre, selon d’autres l’allure d’un agent secret, style KGB.
Ce dernier détail m’a été soufflé par Agnès. (Je vous laisse le choix)
Personne n’a oublié que lors d’une autre randonnée, il était vêtu d’une cape et d’un chapeau, qui lui donnaient l’apparence d’un Péruvien paré de ses habits traditionnels que sont le poncho et le sombrero.
Le travestissement semblant être sa marque de fabrique, Alex nous réservera sans doute d’autres surprises, lors de prochaines sorties.
Qu’il continue ainsi a provoquer l’hilarité. C’est très bon pour le moral.
Mais si vraiment, il fait partie d’un service secret, la prudence doit être de mise.
Il sera bon de demeurer sur nos gardes ! Sait-on jamais.

Quittant le magnifique bocage normand, nous nous sommes retrouvés longeant la mer, sur la longue dune de sable, où nous avons marché sans entendre le bruit de nos pas.
Humant l’air iodé, il suffisait de se laisser aller dans ce lieu enchanteur.
Il fallait tout de même faire attention à ne pas mettre les pieds dans les terriers des innombrables lapins qui y ont élu domicile.
Arrivés à la cale de Linverville, nous avons pu embrasser d’un coup d’œil l’espace constitué par les cabines de plage datant de l’époque des bains de mer, que Gouville a su conserver et qui font désormais partie du patrimoine.
Notre circuit au cœur même de l'espace dunaire où elles sont situés nous a permis de les approcher, et de les voir, ou revoir, joliment coiffées de toits de couleurs différentes, qui.apportent une touche colorée au paysage maritime gouvillais.

Malgré la beauté du site, il n’était pas question de prendre racine.
Une autre activité (si je puis dire) attendait nos randonneurs.
En effet, n’était-ce pas le jour choisi pour partager la traditionnelle galette des rois ?
Rendez vous avait été donné, cette fois à la filature, ou devaient se retrouver 85 inscrits.
Galettes à la frangipane servies tièdes, mandarines, vin et cidre devaient combler les ventres affamés.

Mais qui connaît encore aujourd’hui les origines de cette tradition
Je ne sais si vous êtes aussi cancres que je le suis moi même.
Un peu d’histoire pour nous rafraîchir la mémoire.
Comme vous ne le savez peut-être pas, on tire les rois le jour de l’Epiphanie.

Ce jour commémore la présentation de l'enfant Jésus aux rois mages autour de l’indémodable galette.
Mais savez-vous que derrière cette manifestation religieuse se cache la célébration de rites païens
Dans les sociétés pré-chrétiennes, cette fête correspondait à l'apparition du dieu Dionysos, originaire de Thrace, célèbre dans tout le monde grec. Cette divinité était rattachée aux saisons et mourait avec le déclin de la végétation pour ressusciter avec la lumière. Cette croyance rappelle le culte païen des Saturnales célébrant le retour du soleil lié au début du solstice d'hiver.
Que fête-t-on ce jour-là ?
D'origine orientale, l'Epiphanie remonterait au IVème siècle.

Le mot signifie "manifestation" en grec en référence à la naissance de Jésus. La date du 25 décembre se popularisa en Orient entre 380 et 430 et la spécificité de chacune des deux fêtes se fixa définitivement.
Noël célèbre la naissance charnelle de Jésus et l'Epiphanie son messianisme. Les trois grandes manifestations du Christ, l'adoration des rois mages reconnaissant le Messie, le baptême du Christ dans le Jourdain et le premier miracle aux noces de Cana en Galilée, sont donc mises en avant le 6 janvier. La ferveur populaire mit l'accent sur l'adoration des mages en Occident et la tradition de se réunir autour d'une galette vit le jour.
A l'origine de la fève et de la galette des rois.

La tradition avait déjà cours au XIVème siècle. Elle était partagée en autant de portions que de convives avec une part supplémentaire destinée au premier pauvre qui se présentait. La forme ronde et dorée du gâteau est sans doute une référence au culte solaire des Saturnales. Dans cette galette est dissimulée une fève. Elle vient d'une coutume romaine qui consistait à tirer au sort le roi du festin au moyen d'un jeton noir ou blanc. Celui qui la reçoit est par conséquent déclaré roi.
Maintenant que la galette des rois n'a plus de secrets, il ne reste plus qu'à la déguster !


Mais vous vous n’avez pas attendu pour le faire.
Maintenant que vous avez tous voulu être rois et reines, je voudrais souligner un autre paradoxe.
N’avons nous pas troqué la monarchie pour endosser la République ?
Pour ce faire, un certain 21 janvier 1793, n’avons nous pas été jusqu’à raccourcir un Roi ?
Louis XVI se retournerait dans sa tombe, s’il pouvait voir avec quelle ferveur nous fêtons les rois, honnis il n’y a pas si longtemps.
Je n’avais pas de fève dans ma part de galette et de ce fait, je n'ai pas été Roi, et c’est bien ainsi.
C’est que je tiens à ma tête, moi.
Allez sans rancune.
André

mardi 6 janvier 2009

Orval

Rando de 9 km à Orval.

Les photos sont disponibles en cliquant sur le titre ou "ici" ou Kizoa

Un peu d'histoire:


La commune d'Orval appartient au canton de Montmartin-sur-Mer et à l'arrondissement de Coutances. Les habitants d'Orval étaient au nombre de 878 au dernier recensement. La superficie est de 12.6 km.(soit 70 habitants au km2
Elle se situe géographiquement à une altitude de 50 mètres environ.
Le fleuve la Sienne, la rivière la Soulles traversent Orval.


Patrimoine :


Eglise Sainte-Hélène : classement par arrêté du 22 septembre 1914
Fours à chaux du Petit Carrier
Four à chaux (18e siècle ; 19e siècle)Les trois fours, rampe d' accès, façades et toitures de l' ancienne forge, bascule (cad. D 40) : inscription par arrêté du 22 mai 1989Illustrant l' évolution des techniques de production de la chaux des 18e et 19e siècles, cet ensemble de trois fours est inclus dans une construction de maçonnerie en pierre calcaire, qu' épaulent de larges contreforts. Un puissant mur de soutènement en glacis sépare les deux premiers fours du troisième. Le premier four comprend une courte galerie voûtée, à entrée unique, servant d' abri au chaufournier. Un étroit orifice de décharge reliait le four à cette galerie. Le second four est pourvu d' une galerie latérale contournant la base du four d' un côté et équipée de plusieurs orifices de décharge, à laquelle on accédait par deux entrées opposées. La galerie latérale du troisième est identique à celle du second, mais plus longue. Subsistent, à proximité, le bureau du chaufournier, la forge et la bascule.


Le 17 décembre 2008, nous avions fait la reconnaissance du circuit d’Orval.


Dans mon billet retraçant cette épopée, je vous signalais que certains tronçons étaient boueux.


Certains d’entre vous étaient donc remplis d’espoir, car depuis notre mémorable sortie à St Aubin du Perron, je sais combien vous appréciez cette glaise bienfaitrice.
Aussi, ai-je pu mesurer votre désarroi lorsqu’à la reprise de nos sorties hebdomadaires ce 6 janvier, vous avez constaté que les sentiers étaient au contraire bien secs.
Finis les bains de boues, qui redonnaient vigueur à vos teints blafards.
Depuis ce 17 décembre la pluie a lâché prise laissant la place à un gel récurrent qui a durci les sols.
Ce mardi, la température oscillait encore entre –2 et 0 degrés.
Mais, même le froid vif qui régnait n’a pu vous arrêter, d’autant plus que le soleil avait décidé de se joindre à nous.
Nous étions 69 randonneurs, regroupés sur la place de l’Eglise, attendant que Daniel, en bon chef d’orchestre donne le " la ".
Sous la conduite, oh combien zélée, de notre ami Christian, nous avons pu parcourir les 9 km de ce superbe circuit, pendant qu’Evelyne immortalisait quelques scènes sur son APN.

(pour les ignares APN = Appareil Photographique Numérique)


Non, mais, il faut que je vous mette les points sur les I ?
Ange et Francis, sensibles à l’émulation ambiante, ont assuré la sécurité de chacun, lors des passages sensibles, avec l’ enthousiasme débordant qu’on leur reconnaît.
Chacun de nous a pu apprécier cette belle randonnée.
Je pense à ce promontoire merveilleux, d’où, nous avons pu embrasser d’un regard circulaire toute une étendue vallonnée, qui permettait à des yeux avertis de comptabiliser, pas moins de sept clochers.


Après notre reconnaissance de décembre Thérèse et Christian avaient tenu a modifier une partie du tracé de cette randonnée, pour éviter quelques passages jugés par eux, inopportuns, voire dangereux.
Ils ont donc effectué une ultime prospection le 3 janvier, accompagnés de Mireille, Ange et Evelyne.
Je me suis même laissé dire que deux petits loupiots installés dans leur poussette, ont fait partie des investigations du jour.
Gaëlle et Vincent, parents comblés de ces chérubins, vous qui les avez accompagnés, auriez vous le désir de voir votre progéniture suivre les pas d’Evelyne et Christian, marcheurs émérites, s’il en est, et heureux grands-parents de ces petits diablotins.
A ce que l’on m’a dit, Erwan et Alicia ont réussi brillamment l’épreuve de cette randonnée.
Des futurs randonneurs à Dunes et Bocage ?
Les bulletins d’adhésion demeurent à disposition.



En tout cas, félicitations à tous les volontaires pour leur travail acharné qui nous a permis de réaliser une randonnée irréprochable, n’en déplaise aux ronchons de service, dont je fais partie parfois à ce qu’il paraît. (Si c'est Thérèse qui le dit, cela doit-être vrai ?)



Mardi, nous nous retrouvons à Gouville-sur-Mer, où à l’issue de la randonnée, (pour ceux qui auront eu la sagesse de s’inscrire) nous tirerons les rois (ou les reines).


Non, non, n’y voyez aucune allusion égrillarde. (voyons, ce n’est pas le genre de la maison).
La langue française est pleine de subtilités que chacun peut interpréter les mots selon son humeur. J'en connais parmi nous qui sont hilares.


Des noms ? Je préfère me taire !


André.



Ceux qui ont horreur de sortir des sentiers battus se demandent comment on peut rêver de passer un hiver dans le froid, le vent et l'obscurité.


Que peut-on y trouver ?
Je n'en sais rien
- à moins que ce ne soit : des gens, de la mer, du ciel.
(Björn Larsson)