mardi 30 septembre 2008

St Patrice de Claids








Les photos de cette sortie sont disponibles en cliquant sur le titre.

Ce Mardi 30 Septembre 2008,

quarante neuf marcheurs s’étaient donné rendez-vous à St PATRICE DE CLAIDS sur le parking de l’Eglise.
Avant le départ, cette dernière a pu retenir leur attention.
Datant du XVIème siècle elle a la forme dune croix latine et possède un porche décoré de deux chapiteaux à feuillage.
Julienne et Michel, les guides du jour, leurs ont aussi fait découvrir sur le parcours le magnifique manoir de la GUERRIE datant du XVème siècle, et qui a la particularité d’avoir une tourelle carrée et une tourelle d’angle étêtée.
Empruntant tour à tour des chemins de terre entourés de haies qui présentent l’avantage d’être très ombragés par forte chaleur, et le sentier de la découverte de la lande, aménagé par le Parc des Marais, ils ont pu profiter de ce munificent circuit, en admirant un paysage qui offre aux regards ses immenses richesses naturelles.
Il est dommage que le temps n'ait pas été à la hauteur des espérances, mais c'est tout de même dans la bonne humeur que les 10 km de ce circuit ont été parcourus.
Corinne n'était-elle pas là pour apporter la gaieté dans le groupe ?
Bernard n'était pas en reste, et ces joyeux drilles ont permis d' apporter un peu de lumière, faisant oublier la noirceur d'un ciel bien capricieux.
Après 10 km, chacun s’est retrouvé au point de départ, prêt pour un prochain périple.
Ce sera Gratot le prochain mardi.
André.



mardi 23 septembre 2008

Montchaton

http://www.otcm.fr/fr/index.php?page=montchaton
Documentation sur Montchaton en cliquant sur la ligne ci dessus.


Montchaton est une commune située dans le département de la Manche (région de Basse-Normandie). La ville de Montchaton appartient au canton de Montmartin-sur-Mer et à l'arrondissement de Coutances. Les habitants de Montchaton étaient au nombre de 334 au recensement de 1999. La superficie est de 6.8 km².. Elle se situe géographiquement à une altitude de 50 mètres environ.

Pour voir les photos cliquer sur le titre

randonnée de 13 km.


L'Eglise de Montchaton.


Ce 23 septembre la randonnée se déroule à Montchaton.
64 participants pour un circuit de 13 km.
André (votre serviteur) et Christian sommes aux commandes.
Certes il y a un peu de pluie par intermittence, mais dans l'ensemble tout se passe bien. Les chemins sont bien secs.
Partis de l'Eglise, nous cheminons sur un sentier sur la hauteur, d'ou nous pouvons apercevoir au loin la cathédrale de Coutances, puis plus à gauche, l'Eglise de Tourville, les marais d'Heugueville, et le Pont de la Roque.
Puis c'est la traversée de petits villages aux noms évocateurs "La Pilotière", "La cour à la Mare""Le Mesnillais". Un petit tour à droite, et nous empruntons la rue des Anglais.
Tiens drôle d'idée ?
En fait c'est tout simple, et mérite peut-être une explication.
Autrefois dans la plupart des communes, les rue n'avaient pas de nom. Puis est venue l'époque justement d'en donner un, ainsi qu'un numéro à chaque habitation.
Il fut une époque récente durant laquelle nos amis d'Outre-Manche recherchaient des maisons en pierre à restaurer.
Montchaton n'en manquait pas, et lorqu'il fut question de baptiser les rues, c'est tout simplement, que celle dont je vous parle fut nommée rue des Anglais car occupée par quelques ressortissants de sa "gracieuse majesté".
Ceci nous amène au village Goelle. Toute une histoire ce village Goelle.
Pour vous lecteurs, non bien sûr, mais pour celui qui vous en parle que de souvenirs. Souvenirs lointains certes, mais combien présents dans mon esprit.
Vous l'aurez deviné, je suis né dans ce village, qui a bercé toute mon enfance.
Et passer ainsi devant la maison quittée quarante neuf ans plus tôt, cela donne la "chair de poule", d'autant plus que cette maison est désormais occupée par des "britischs"comme il se doit.
Nous descendons maintenant vers "les Castillons""Sous les rues".
Nous arrivons à la maisonnette, souvenir d'une ancienne ligne de chemin de fer. Oui c'est comme cela que l'on appelait la maison du garde-barrière. Le train passait là au début du siècle dernier.
Je ne l'ai pas connu.
Dommage, ou tant mieux, car si j'avais connu cette époque, je ne serais pas occupé à écrire ces lignes.
Le chemin que nous empruntons maintenant est assez large et témoigne de l'emplacement de l'ancienne voie. Seuls les rails ne sont plus là.
Je me prends à imaginer le cheminement du "tortillard"qui occupait les lieux, à une époque révolue.
Nous quittons cet ancien ballast, pour retrouver un bout de route goudronnée que, sans regrets, nous ne tardons pas à quitter.
La ferme du Colombier se dresse devant nous, superbe bâtisse en pierres. (de Montmartin ) .
Nous gravissons une pente assez raide qui nous conduit jusqu'à la départementale 49 (axe Montmartin/Hérengueville).
Sécurité oblige, la circulation nous oblige à scinder notre groupe en deux pour utiliser ce passage.
Nos "encadreurs" veillent au grain.
Assez vite nous reprenons une petite route, et c'est par un sentier longeant des champs de maïs que nous parvenons à l'entrée de Montmartin.
Sur le chemin du retour, nous rencontrons le village"Les Périers", ensuite long cheminement sur un chemin de terre impeccable.
"Les Clestières", "Les Vieux chemins", "Couraye", "Fonteney", "Casrouge" "Benset".
Encore un effort, et elle réapparaît. L'église est maintenant dans notre champ de mire. Un petit détour pour éviter la route, et nous longeons le cimetière pour arriver sur le parking où nous attendent nos voitures.
Belle rando, reconnaissez le.
Si, si, je vous l'assure, Montchaton vaut bien le détour.
Chauvin me direz vous ?
Non, a peine.
Je demeure persuadé que c'est la plus belle randonnée de l'année. Bon d'accord, si, il n'y a que moi pour le penser, alors tant pis.
Sans rancune !
André

Office de Tourisme du canton de Montmartin Sur Mer

vendredi 19 septembre 2008

Assemblée Générale


Pour voir les photos cliquez sur le titre.

mardi 16 septembre 2008

Angoville sur Ay


Randos de 10 km, pour voir les photos cliquez "ici" ou sur le titre.

Angoville-sur-Ay est une commune située dans le département de la Manche (région de Basse-Normandie). La ville d'Angoville-sur-Ay appartient au canton de Lessay et à l'arrondissement de Coutances. Les habitants d'Angoville-sur-Ay s'appellent les Angovillais et étaient au nombre de 230 au recensement de 1999. La superficie est de 6.9 km². Elle se situe géographiquement à une altitude de 40 mètres environ.
C’est dans cette petite commune que 51 marcheurs se sont retrouvés le mardi 16, septembre, pour parcourir un circuit de 9km500, sous la conduite de Paulette et Julienne.
Le beau temps, et des chemins bien entretenus ont été les éléments déterminants pour conserver le souvenir d’une randonnée agréable.
André

mardi 9 septembre 2008

Journée à Domjean (cliquer sur le titre pour voir la totalité des photos)


Voici les photos de Christian et d'André


Quelques informations sur Domjean recueillies sur la "toile".

Domjean est une commune située dans le département de la Manche (région de Basse-Normandie). La ville de Domjean appartient au canton de Tessy-sur-Vire et à l'arrondissement de Saint-Lô. Les habitants de Domjean s'appellent les Domjeanais et étaient au nombre de 820 au recensement de 1999. La superficie est de 16.6 km. Elle se situe géographiquement à une altitude de 90 mètres environ.
Un décor floral de village soigné, abondant, respectant les espaces naturels.
Nichée dans le bocage, entre Saint-Lô et Vire, bordée par la rivière la Vire, la commune de Domjean avec ses vieilles pierres, ses chemins de randonnées et ses multiples activités culturelles possède de nombreux atouts pour séduire les promeneurs amoureux de nature et d’authenticité. Domjean est à juste titre fière de son église (elle a appartenu à Richard Ier et à l’abbaye du Mont Saint Michel) ornée de superbes sculptures et de fresques.
. Pour les plus actifs, les environs offrent 50 kilomètres de sentiers que l’on peut parcourir à pied, à cheval ou en VTT selon une infinité de circuits possibles.
L’église et ses sculptures : un Saint Jacques, un splendide " Ecce Homo " ainsi qu’une très belle vierge à l’enfant en majesté. Magnifique chemin de croix et fresques modernes ; très beau retable aux douze apôtres en pierre sculptée


Dès 9 h45, ce mardi 9 septembre nous nous retrouvons, quarante randonneurs sur le parking de la mairie de Domjean, où nous sommes accueillis par le Maire, Monsieur Gauchet, Monsieur Louis Jannière, adjoint, et Madame Denise Horel, ancienne conseillère municipale..
Un local nous ayant été aimablement dédié, nous pouvons entreposer nos affaires en prévision du pique-nique du midi.
Initialement les deux randonnées de la journée devaient être menées par Jean-Claude et Marie-Jo.
C’est finalement, Jean-Claude et Denise qui nous guident, Denise ayant manifesté le désir de nous faire connaître elle même les parcours pédestres de sa commune qu’elle connaît visiblement mieux que quiconque, pour les avoir arpentés de nombreuses fois.
C’est donc sous sa houlette, que tambour battant nous parcourons les chemins et sentiers de la commune , tracés sur lesquels nous pouvons apporter un témoignage en forme de satisfecit, tant les chemins sont superbes et bien entretenus.
Quelques raidillons coupent le souffle de quelques uns qui lors d’une pause, croient bon de reprendre du tonus en buvant un café. Ah oui Danielle, tu n’as pas oublié d’amener ton thermos ! .
Ces grimpettes avalées, nous pouvons bénéficier du vaste panorama qui s’étale sous nos yeux.
D’où, nous nous trouvons, sur notre droite, il est aisé de voir au loin l’Eglise de Troisgots, nichée sur un point culminant, et toute la vallée en contrebas, tandis qu’à notre gauche se dressent fièrement les éoliennes de Guiberville.
Entre les arbres on peut deviner les méandres de la Vire.
Sur le coup de midi, nous voici de retour au centre de Domjean, où nous prenons le temps d’admirer les fleurs qui ornent tous les murs de la cité, procurant à cette dernière la renommée bien méritée de ville fleurie qui lui a permis d’obtenir un classement " 4 fleurs ".
Nous faisons un petit tour dans le parc paysager situé au cœur du village.
Nous trouvons quelques parcelles de camping bien agencées, de vastes allées bordées d’arbres et de fleurs de multiples variétés, et deux bassins.
Pour une commune d’à peine mille habitants, notre étonnement est grand d’y trouver un cadre bucolique aussi conséquent, qui n’a rien a envier à des villes beaucoup plus importantes.
Nous nous retrouvons dans la salle de l’ancienne école, qui abrite pendant deux mois chaque année les œuvres de peintres régionaux.
Confort suprême pour des randonneurs, Monsieur Jannière a dressé des tables et mis des bancs à notre disposition.
Nous ne le remercierons jamais assez, car après un matin ensoleillé, à notre grand dam, la pluie fait son apparition, nous rappelant combien il est agréable de se trouver à l’abri.
Madame Gauchet et Monsieur Jannière viennent se joindre à nous pour partager le Kir et les " gueulardises "qui l’accompagnent.
Et cerise sur le gâteau, une Domjeanaise se présente à nous avec son petit panier.
Le contenu ne laisse personne indifférent. Marie-Anne a l’immense délicatesse de nous apporter un délicieux pommeau de son cru. Comme par hasard, il n’y a pas de fainéants pour tendre les verres et boire cet élixir de première qualité.
Dois-je vous confier que Marie-Anne est une " copine d’école " de Marie-Jo. ?
Cette dernière a peut-être d’autres copines à nous proposer. Nous sommes preneurs pour tester tous les produits du terroir.

Il est deux heures et quart, et c’est regonflés à bloc que nous repartons pour un circuit de 13 km.
Quelques uns préfèrent un circuit un peu plus court, ce sera 8 Km.
La majorité suit à nouveau Jean-Claude et Denise.
De nouveaux sentiers se présentent à nous.
Nous arrivons à la Chapelle sur Vire, haut lieu de pèlerinage. Pour certains d’entre nous une visite s’impose.
Puis c’est le cheminement sur le chemin de halage où la Vire nous offre ses rives verdoyantes.
Nous rencontrons d’anciens déversoirs, des maisons éclusières, qui témoignent des activités d’un temps désormais révolu.
Nous avançons sous le charme de cette randonnée au fil de l’eau, véritable bonheur pour tout amoureux de nature authentique.

Le Pont de Tessy-sur-Vire fait son apparition. Un banc est là, qui fait le bonheur de quelques uns pour une courte pause. De l’autre côté de la voie, nous pouvons apercevoir une micro centrale hydroélectrique qui profite des eaux de la Vire pour fournir de l’électricité. Il en existe d’autres sur la rivière.
Nous repartons.
Nous sommes maintenant sur le pont, duquel nous pouvons voir sous nos pieds les eaux tumultueuses.
Nous reprenons un bout du chemin de halage sur l’autre rive, puis après quelques mètres, nous atteignons un sentier escarpé qui "casse les jambes " après tous ces kilomètres parcourus.
Après un passage au milieu du bocage, nous traversons la départementale 13 au niveau de la zone industrielle, et nous longeons le village de la Mazurière.
Encore quelques encablures et l’Eglise de Domjean réapparaît dans notre champ visuel.
A notre droite, nous laissons le magnifique lavoir restauré "Le Manet", puis nous traversons le cimetière.
Le parking est là comme la bouée du naufragé.
Pour ceux qui ont fait la totalité du parcours ce n’est pas moins de 24 kilomètres qui ont été parcourus.
Les jambes pèsent lourd, mais le plaisir se lit sur les visages.

Pur bonheur de partager ces moments d’efforts et de convivialité.
Merci aux Domjeanais, et aux Domjeanaises pour l’accueil chaleureux, qu’ils nous ont offert si gentiment.

Dans un monde où le chacun pour soi l'emporte trop souvent, l'amitié est un bien précieux qu'il ne faut pas gaspiller. .

Merci aux personnes qui s’emploient à nous procurer des chemins de qualité.
Merci aux bénévoles qui ont fait des reconnaissances.
Merci aux randonneurs eux même, sans qui rien de tout cela n’arriverait.
André
.

mardi 2 septembre 2008

Saussey

Voici les Photos des 20 randonneurs courageux.



Situation
Saussey est une commune située dans le département de la Manche (région de Basse-Normandie). La ville de Saussey appartient au canton de Coutances et à l'arrondissement de Coutances. Les habitants de Saussey s'appellent les Sausserais et étaient au nombre de 507 au recensement de 1999. La superficie est de 9.2 km
Elle se situe géographiquement à une altitude de 40 mètres environ
.

Le jeudi 28 août Ange, Mireille, Christian, Evelyne, Thérèse , Daniel, Marie-Jo, et moi même, avons fait la reconnaissance de ce circuit.
Il faisait très beau, et les chemins étaient bien secs.
C’est donc sans crainte que nous pouvions vous annoncer une randonnée de qualité pour ce 2 septembre.
C’était sans compter sur les caprices de dame météo.
Que n’a t-il plu ce mardi ?
Il en fallait du courage pour affronter les intempéries.
D'ailleurs, il n’était que voir les candidats à la marche qui se cantonnaient dans leur voiture attendant un hypothétique répit pour sortir de leur abri.
Je ne citerai pas de nom, n'est-ce pas Daniel ?
Ah zut, j'ai cafté. Je ne m'en suis pas rendu compte.

Cependant, il a bien fallu que nous nous décidions.
Et là le folklore a commencé.
Quelle sinécure, ne serait-ce que pour enfiler les vêtements de pluie ?
Celle-ci était si dense que nous étions déjà mouillés avant d’avoir pu endosser, qui, son imperméable, qui sa cape.
Avec un tel déluge, c’est donc seulement vingt courageux (ou inconscients) qui ont osé prendre le départ.

Scrutant l’horizon pour voir si quelque retardataire décidait malgré tout de grossir nos rangs en se joignant à nous, Daniel a sifflé la fin de la récréation.
Thérèse et Christian, les deux guides du jour nous ont mené tambour battant, comme pressés d’en finir avant d’avoir commencé.
Ah certes , ils étaient toujours beaux les chemins, que nous avions reconnus quelques jours auparavant, mais que d’eau, que d’eau.

Ce n’est pas Christian et Mireille qui me démentiront ?
Ne se sont-ils pas " étalés ", oh! je vous vois venir, rassurez vous, "étalés"en tout bien, tout honneur. D’ailleurs Ange était là, qui veillait au grain.(si j’ose dire, en l’occurrence).
Qu'ils avaient été bien inspirés ceux d’entre nous qui avaient prévu des bottes.
L’eau ruisselait le long des sentiers en pente, formant des petits ruisseaux, qui grossissaient à vue d’œil.
C'est bien connu les petits ruisseaux font les grandes rivières.
Il fallait bien regarder où mettre les pieds.

Finalement, comme pour nous narguer, le ciel compatissant a bien voulu nous accorder un timide rayon de soleil en fin de randonnée.

Après avoir bouclé le circuit de près de 10 km, nous avons tous été contents de nous débarrasser de nos affublements grand-guignolesques, avant de regagner nos véhicules.
En confidence, sur le chemin du retour, je vous avoue que j’ai bien apprécié les sièges chauffants.
En été ? Si,si.
Allez, c’était tout de même une belle randonnée !
Ne dit-on pas que les absents ont toujours tort ?
Vous qui n’avez pas osé mettre un nez dehors, vous ne saurez pas ce qu’est l’aventure avec un grand A ?
Nous, oui (rires)
Sans rancune !


Ce ne sont pas les coeurs purs qui évitent l'averse, mais les gens munis de parapluie.

Anatole France