Ayant atteint le nombre de transfert dans le mois je ne peux pas ajouter de photos sur le site habituel. Je les transfère sur Picasa, la résolution est la même seul le diaporama ne se fait pas directement en plein écran.
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Vous pouvez toujours télécharger une photo ou le diaporama sur votre ordinateur.
Les Randonneurs des Dunes et Bocage de GOUVILLE-SUR-MER
Président: Jacky Gaillet
Administrateur: Christian Courriel ardb50@gmail.com
Site de l'association: https://sites.google.com/site/ardb50/
mardi 27 mai 2008
samedi 24 mai 2008
St-Sauveur-Lendelin_Coutances
Le Mardi 27 mai
Il est demandé aux randonneurs qui disposent de places dans leur véhicule de passer à 8h50 par le point d'arrivée de Coutances pour y prendre les organisateurs chargés, à la fin de la rando, de remmener à St Sauveur les chauffeurs qui doivent récupérer leurs voitures. Le point de rendez-vous de Coutances est devant (vous pouvez cliquer sur le lien:)"le terrain de sport du collège" (quartier Claires Fontaines).
La randonnée fait 24 kms (12 le matin, 12 l'après-midi)
Renseignements: Françis 02 33 45 44 38 ou Thérèse 02 33 46 66 11
Pour un contact le matin de la randonnée à partir de 8h Christian 06 87 55 20 02
Départ de la randonnée: parking de l'Eglise de St-Sauveur-Lendelin à 9h30 (rendez-vous 9h15)
Il est demandé aux randonneurs qui disposent de places dans leur véhicule de passer à 8h50 par le point d'arrivée de Coutances pour y prendre les organisateurs chargés, à la fin de la rando, de remmener à St Sauveur les chauffeurs qui doivent récupérer leurs voitures. Le point de rendez-vous de Coutances est devant (vous pouvez cliquer sur le lien:)"le terrain de sport du collège" (quartier Claires Fontaines).
La randonnée fait 24 kms (12 le matin, 12 l'après-midi)
Renseignements: Françis 02 33 45 44 38 ou Thérèse 02 33 46 66 11
Pour un contact le matin de la randonnée à partir de 8h Christian 06 87 55 20 02
Départ de la randonnée: parking de l'Eglise de St-Sauveur-Lendelin à 9h30 (rendez-vous 9h15)
mardi 20 mai 2008
Gouville sur Mer Plage
Les promesses ont été tenues: 15 kms et le soleil.
Pour voir les photos ou les télécharger il faut toujours cliquer sur le titre.
Ce 20 mai, c’est à Gouville-sur- Mer, un petit coin de France situé entre terre et mer sur la côte ouest du Cotentin, que s’est déroulée notre randonnée hebdomadaire.
58 marcheurs s’étaient donné rendez vous sur le parking de la plage, pour être pris en charge par Daniel et Christian.
Ceux ci, accompagnés par Evelyne avaient pris soin de reconnaître le circuit quelques jours auparavant.
(Nota : A ceux qui ne le savent pas, j’en profite pour leur indiquer, que nos randonnées ne sont jamais improvisées. En effet des volontaires parcourent sentiers et chemins avant toute rando officielle, afin d’étudier la faisabilité de tel ou tel circuit, et cela en fonction de la topographie et des distances ou encore des conditions météorologiques).
Au départ, chacun a pu voir la nouvelle station de sauvetage de la SNSM.
De même avons nous pu apercevoir le phare du Sénéquet situé à 5 km au large, ainsi que l’Ile de Jersey ?.
Longeant la plage, bordée de dunes les randonneurs se sont dirigés vers le Nord, laissant sur leur droite les campings " Belle Etoile " et " Le Sénéquet "
Traversant le bocage au gré de chemins méandreux, et après avoir côtoyé la station d’épuration, nous avons traversé des petits hameaux au nom évocateur : La Vincenterie, Montcarville, La Jeannerie, La Ronderie,La Girarderie.
A La Girarderie, justement, étant arrivée à la porte de son domicile, c’est là que Françoise a décidé d’écourter son trajet.
Jean-François a qui l’on prête le nom de " coupe-circuit " en a profité lui aussi pour rassembler les personnes qui préféraient raccourcir le trajet ;
Une majorité a préféré continuer à fouler le sol de chaque lieu-dit.
Entres autres, La Banoterie, le Village aus gras, la Maison Piquet, les Forges, le Hameau Noël, les Hougues. Tous lieux, qui maintenant ne nous sont plus étrangers.
Revenus dans les dunes, nous avons laissé à notre gauche, la cabane Vauban, ancienne installation du " guet de la mer ", de la marine royale, puis nationale, qui servit également aux douaniers.
Enfin les dernières foulées de notre périple se sont faites au milieu des fameuses cabines de plage de Gouville, datant de l'époque des bains de mer
Coiffées de toits de couleurs différentes, et situées dans l'espace dunaire, elles apportent une touche colorée au paysage maritime gouvillais.
De même avons nous pu apercevoir le phare du Sénéquet situé à 5 km au large, ainsi que l’Ile de Jersey ?.
Longeant la plage, bordée de dunes les randonneurs se sont dirigés vers le Nord, laissant sur leur droite les campings " Belle Etoile " et " Le Sénéquet "
Traversant le bocage au gré de chemins méandreux, et après avoir côtoyé la station d’épuration, nous avons traversé des petits hameaux au nom évocateur : La Vincenterie, Montcarville, La Jeannerie, La Ronderie,La Girarderie.
A La Girarderie, justement, étant arrivée à la porte de son domicile, c’est là que Françoise a décidé d’écourter son trajet.
Jean-François a qui l’on prête le nom de " coupe-circuit " en a profité lui aussi pour rassembler les personnes qui préféraient raccourcir le trajet ;
Une majorité a préféré continuer à fouler le sol de chaque lieu-dit.
Entres autres, La Banoterie, le Village aus gras, la Maison Piquet, les Forges, le Hameau Noël, les Hougues. Tous lieux, qui maintenant ne nous sont plus étrangers.
Revenus dans les dunes, nous avons laissé à notre gauche, la cabane Vauban, ancienne installation du " guet de la mer ", de la marine royale, puis nationale, qui servit également aux douaniers.
Enfin les dernières foulées de notre périple se sont faites au milieu des fameuses cabines de plage de Gouville, datant de l'époque des bains de mer
Coiffées de toits de couleurs différentes, et situées dans l'espace dunaire, elles apportent une touche colorée au paysage maritime gouvillais.
André
vendredi 16 mai 2008
Gouville sur Mer
Daniel, Evelyne et moi-même avons reconnu la randonnée malgré l'orage menaçant. Nous avons parcouru 16 Kms, après quelques modifications nous avons prévu un parcours de 14 kms 900. Il n'y a pas de raccourci possible.
Le rendez-vous est à 14h05 au parking de la plage le 20 mai.
Contact : Daniel 06 83 99 24 57
mercredi 14 mai 2008
Ile de Bréhat
Dernière minute:
Les photos sont disponibles en cliquant sur le titre: "Ile de Bréhat"
La veille du départ André écrivait:
Les photos sont disponibles en cliquant sur le titre: "Ile de Bréhat"
La veille du départ André écrivait:
"Pour ceux qui se sont inscrits pour le voyage à l'Ile de Bréhat, n'oubliez pas que c'est demain 14/05/2008 que vous devez vous trouver à la salle des fêtes de Gouville-sur-Mer
Le car partira de ce lieu à 6 heures tapantes. Alors réglez vos montres, vos réveils, vos horloges, faites appel à un ami qui jouera du tam, tam pour vous tirer de votre torpeur. Bref débrouillez vous, mais arrivez à l'heure, car le transporteur a un horaire qui lui a été assigné, et il ne pourra y déroger.
Je sais combien c'est dur de se lever aux aurores.Votre serviteut lui même a bien du mal a imaginer qu'il puisse être tiré du lit à une heure aussi matinale. Mais à la guerre comme à la guerre, il va falloir s'y faire.
Surtout, je ne veux pas voir d'esprits grognons. Prenez un bon café pour vous réveiller et arborez votre plus grand sourire. Diantre, que je sache, on ne va tout de même pas au bagne !
Côté pratique maintenant, n'oubliez pas le casse-croûte pour le midi, sans oublier quelques litrons. Après tout cela ne pourra que vous décoincer.
Allez sans rancune, et à demain, si vous le voulez bien, comme aurait dit un célèbre animateur qui nous a quittés il y a peu.(pour ceux qui sont atteints d'Alzheimer, il s'agit de Lucien Jeunesse) "
Le car partira de ce lieu à 6 heures tapantes. Alors réglez vos montres, vos réveils, vos horloges, faites appel à un ami qui jouera du tam, tam pour vous tirer de votre torpeur. Bref débrouillez vous, mais arrivez à l'heure, car le transporteur a un horaire qui lui a été assigné, et il ne pourra y déroger.
Je sais combien c'est dur de se lever aux aurores.Votre serviteut lui même a bien du mal a imaginer qu'il puisse être tiré du lit à une heure aussi matinale. Mais à la guerre comme à la guerre, il va falloir s'y faire.
Surtout, je ne veux pas voir d'esprits grognons. Prenez un bon café pour vous réveiller et arborez votre plus grand sourire. Diantre, que je sache, on ne va tout de même pas au bagne !
Côté pratique maintenant, n'oubliez pas le casse-croûte pour le midi, sans oublier quelques litrons. Après tout cela ne pourra que vous décoincer.
Allez sans rancune, et à demain, si vous le voulez bien, comme aurait dit un célèbre animateur qui nous a quittés il y a peu.(pour ceux qui sont atteints d'Alzheimer, il s'agit de Lucien Jeunesse) "
Mercredi 14 mai 2008
Eh bien voilà c’est maintenant mission accomplie. Comme je vous le disais dans mon précédent message, c’est dur de se lever aux aurores.
Allez ne niez pas ! Je ne vous cacherai pas que ce le fut pour moi. Alors, j’ai tout lieu de penser que cela a dû l’être tout autant pour vous ?
Quoiqu’il en soit nous étions 60 à monter dans l’autocar à destination de l’Ile de Bréhat en ce matin du 14 mai.
Installés sur nos sièges respectifs, nous avons été un long moment à nous libérer des limbes du sommeil. Allons, ne faites pas la moue ! J’ai bien remarqué le silence qui régnait à bord, et vu autour de moi beaucoup de paupières bouffies
Quand je pense que l’on m’a toujours dit que la fortune sourit aux gens qui se lèvent tôt. Balivernes, car non seulement, je n’ai jamais rencontré l’opulence promise, mais j’ai toujours dû me faire violence, et faire contre mauvaise fortune bon cœur en m’astreignant à des levers matinaux.
Bref, il a fallu un petit arrêt a mi-chemin pour qu’autour d’un café fumant, d’un thé chaud, ou encore des effluves d’un chocolat, les langues se délient, et que les visages se décongestionnent enfin, comme par enchantement.
Après cet heureux intermède, et une fois regagnées nos places, la métamorphose était patente. Bien réveillés les conversations allaient bon train, les rires fusaient de part et d’autre.
Sur le trajet emprunté, il paraît que le paysage est agréable au regard. Pour ma part, j’ai essayé d’apercevoir un site qui aurait pu ravir mes yeux, mais mes efforts n’ont servi a rien. Un moment j’ai songé à essuyer mes lunettes, avant que je ne comprenne que ma vision était seulement limitée par un épais brouillard.
Frères et sœurs d’infortune, il s’agit bien là d’une frustration qui nous a été commune. Les éléments sont ainsi que quoique nous fassions, nous n’avons d’autre choix que subir.
A l’arrivée, nous n’avons rien rencontré de beaucoup plus enthousiasmant.
Dès la sortie du car un petit froid nous a enveloppé de son étreinte glaciale, alors qu’au dessus de nos têtes de gros nuages s’accumulaient nous faisant craindre le pire. Ah, mes amis, vous ne craniez plus !. Moi non plus du reste.
L’embarquement fut le bienvenu. A l’abri chacun a pu retrouver des couleurs.
Le plaisir de naviguer reprenant le dessus, les rires sont revenus ?
Pas vrai Daniel, ce n’est pas tous les jours que l’on a l’occasion de faire une croisière. Tu l’as dit bouffi, tu parles, dix minutes de traversée. Alors là, c’est pas fini d’être grincheux ?. Après tout une croisière, que ce soit 10 minutes ou une heure c’est toujours une croisière.
Et voilà que nous arrivons sur l’Ile. Maintes fois on m’a vanté les microclimats des îles et je ne sais quels tintouins qui accompagnent ces considérations météorologiques.
Et ben oui ex compagnons d’infortune, vous l’avez vu et constaté comme moi. Au moment ou nous foulions le sol de Bréhat, le beau temps est revenu comme par miracle. Certes une petite brume enveloppait encore un peu l’horizon, mais le soleil était présent, nous guidant de ses chauds rayons, et ce n’était déjà pas si mal, pour sillonner les sentiers de Bréhat dans de bonnes conditions.
Au détour d’un sentier nous avons découvert la petite chapelle St Michel hissée sur un promontoire, à 33 m d’altitude, offrant un large point de vue sur toute l’île et le littoral jusqu’au sillon de Talbert.
C’est a son pied que nous avons décidé de sortir les victuailles de nos sacs pour un pique-nique bien mérité. Ah ce sont les premiers arrivés qui ont eu le bénéfice d’une table en bois comme cela se fait chez les gens civilisés (sic).
Pour ma part, je me suis contenté de l’herbe pour m’asseoir. Il n’en fallait pas plus pour mon bonheur.
Oh qu’elles étaient lourdes les bouteilles dans nos paquetages, mais quel plaisir ensuite, lorsque leur contenu s’est retrouvé dans nos verres.
Bonheur pour nos dos meurtris, et bonheur du palais, lorsque le doux breuvage s’y est instillé.
Dans les méandres des petits chemins, , nous avons trouvé tour à tour la citadelle où se trouve une verrerie qui offre un étonnant contraste entre les gestes traditionnels du souffleur et le four sophistiqué qui produit un verre très pur, , le Phare du Paon reconstruit en 1949 en porphyre rouge.
De ce phare, nous avons pu dominer la côte la plus sauvage de l’île.
Au cours de nos pérégrinations, nous avons pu vérifier que l’Ile de Bréhat, est en fait composée de deux îles reliées par un pont érigé par Vauban qui lui a donné son nom.
L’île située au sud offre une végétation luxuriante, alors que celle du nord est plus sauvage.
Pour nous tous, je crois que ce fut un réel bonheur de marcher dans ce dédale de routes étroites bordées de hauts murs protégeant des jardins fleuris où seuls les piétons, les vélos et les tracteurs sont autorisés à les parcourir.
Toutes les bonnes choses ayant une fin, et alors que nous approchions de l’embarcadère pour le retour, les premières gouttes firent leur apparition, pour se transformer en une pluie soutenue.
Et tans pis pour ceux d’entre nous qui n’avaient pas prévu une protection.
Allons nous, nous plaindre, d’une bonne averse en fin de course, alors que nous avons pu obtenir la clémence des cieux durant la totalité de notre errance.
Je crois qu’ au terme des 13km500 parcourus tout au long de cette journée, nous ne pourrons retenir que les bons moments passés sur les Iles de Bréhat, dans un cadre bucolique. En tout état de cause, ce n’est pas la pluie qui s’est à nouveau invitée lors de notre retour en autocar qui a pu ternir les belles images qui resteront gravées dans nos têtes.
Au fait, qui a vu tomber la pluie sur le trajet, tant les têtes lourdes de souvenirs, et les corps fatigués faisaient la part belle à la somnolence ?
A 21 heures, l’Eglise de Gouville est apparue, dans notre champ visuel, signal de la fin de notre escapade.
En conclusion, je dis " Quelle bonne journée "
Allez ne niez pas ! Je ne vous cacherai pas que ce le fut pour moi. Alors, j’ai tout lieu de penser que cela a dû l’être tout autant pour vous ?
Quoiqu’il en soit nous étions 60 à monter dans l’autocar à destination de l’Ile de Bréhat en ce matin du 14 mai.
Installés sur nos sièges respectifs, nous avons été un long moment à nous libérer des limbes du sommeil. Allons, ne faites pas la moue ! J’ai bien remarqué le silence qui régnait à bord, et vu autour de moi beaucoup de paupières bouffies
Quand je pense que l’on m’a toujours dit que la fortune sourit aux gens qui se lèvent tôt. Balivernes, car non seulement, je n’ai jamais rencontré l’opulence promise, mais j’ai toujours dû me faire violence, et faire contre mauvaise fortune bon cœur en m’astreignant à des levers matinaux.
Bref, il a fallu un petit arrêt a mi-chemin pour qu’autour d’un café fumant, d’un thé chaud, ou encore des effluves d’un chocolat, les langues se délient, et que les visages se décongestionnent enfin, comme par enchantement.
Après cet heureux intermède, et une fois regagnées nos places, la métamorphose était patente. Bien réveillés les conversations allaient bon train, les rires fusaient de part et d’autre.
Sur le trajet emprunté, il paraît que le paysage est agréable au regard. Pour ma part, j’ai essayé d’apercevoir un site qui aurait pu ravir mes yeux, mais mes efforts n’ont servi a rien. Un moment j’ai songé à essuyer mes lunettes, avant que je ne comprenne que ma vision était seulement limitée par un épais brouillard.
Frères et sœurs d’infortune, il s’agit bien là d’une frustration qui nous a été commune. Les éléments sont ainsi que quoique nous fassions, nous n’avons d’autre choix que subir.
A l’arrivée, nous n’avons rien rencontré de beaucoup plus enthousiasmant.
Dès la sortie du car un petit froid nous a enveloppé de son étreinte glaciale, alors qu’au dessus de nos têtes de gros nuages s’accumulaient nous faisant craindre le pire. Ah, mes amis, vous ne craniez plus !. Moi non plus du reste.
L’embarquement fut le bienvenu. A l’abri chacun a pu retrouver des couleurs.
Le plaisir de naviguer reprenant le dessus, les rires sont revenus ?
Pas vrai Daniel, ce n’est pas tous les jours que l’on a l’occasion de faire une croisière. Tu l’as dit bouffi, tu parles, dix minutes de traversée. Alors là, c’est pas fini d’être grincheux ?. Après tout une croisière, que ce soit 10 minutes ou une heure c’est toujours une croisière.
Et voilà que nous arrivons sur l’Ile. Maintes fois on m’a vanté les microclimats des îles et je ne sais quels tintouins qui accompagnent ces considérations météorologiques.
Et ben oui ex compagnons d’infortune, vous l’avez vu et constaté comme moi. Au moment ou nous foulions le sol de Bréhat, le beau temps est revenu comme par miracle. Certes une petite brume enveloppait encore un peu l’horizon, mais le soleil était présent, nous guidant de ses chauds rayons, et ce n’était déjà pas si mal, pour sillonner les sentiers de Bréhat dans de bonnes conditions.
Au détour d’un sentier nous avons découvert la petite chapelle St Michel hissée sur un promontoire, à 33 m d’altitude, offrant un large point de vue sur toute l’île et le littoral jusqu’au sillon de Talbert.
C’est a son pied que nous avons décidé de sortir les victuailles de nos sacs pour un pique-nique bien mérité. Ah ce sont les premiers arrivés qui ont eu le bénéfice d’une table en bois comme cela se fait chez les gens civilisés (sic).
Pour ma part, je me suis contenté de l’herbe pour m’asseoir. Il n’en fallait pas plus pour mon bonheur.
Oh qu’elles étaient lourdes les bouteilles dans nos paquetages, mais quel plaisir ensuite, lorsque leur contenu s’est retrouvé dans nos verres.
Bonheur pour nos dos meurtris, et bonheur du palais, lorsque le doux breuvage s’y est instillé.
Dans les méandres des petits chemins, , nous avons trouvé tour à tour la citadelle où se trouve une verrerie qui offre un étonnant contraste entre les gestes traditionnels du souffleur et le four sophistiqué qui produit un verre très pur, , le Phare du Paon reconstruit en 1949 en porphyre rouge.
De ce phare, nous avons pu dominer la côte la plus sauvage de l’île.
Au cours de nos pérégrinations, nous avons pu vérifier que l’Ile de Bréhat, est en fait composée de deux îles reliées par un pont érigé par Vauban qui lui a donné son nom.
L’île située au sud offre une végétation luxuriante, alors que celle du nord est plus sauvage.
Pour nous tous, je crois que ce fut un réel bonheur de marcher dans ce dédale de routes étroites bordées de hauts murs protégeant des jardins fleuris où seuls les piétons, les vélos et les tracteurs sont autorisés à les parcourir.
Toutes les bonnes choses ayant une fin, et alors que nous approchions de l’embarcadère pour le retour, les premières gouttes firent leur apparition, pour se transformer en une pluie soutenue.
Et tans pis pour ceux d’entre nous qui n’avaient pas prévu une protection.
Allons nous, nous plaindre, d’une bonne averse en fin de course, alors que nous avons pu obtenir la clémence des cieux durant la totalité de notre errance.
Je crois qu’ au terme des 13km500 parcourus tout au long de cette journée, nous ne pourrons retenir que les bons moments passés sur les Iles de Bréhat, dans un cadre bucolique. En tout état de cause, ce n’est pas la pluie qui s’est à nouveau invitée lors de notre retour en autocar qui a pu ternir les belles images qui resteront gravées dans nos têtes.
Au fait, qui a vu tomber la pluie sur le trajet, tant les têtes lourdes de souvenirs, et les corps fatigués faisaient la part belle à la somnolence ?
A 21 heures, l’Eglise de Gouville est apparue, dans notre champ visuel, signal de la fin de notre escapade.
En conclusion, je dis " Quelle bonne journée "
vendredi 9 mai 2008
Le Mesnilbus
Ce 13 mai 2008, rendez-vous avait été donné au parking de l'Eglise à Le Mesnilbus.
Cette petite commune située dans le département de la Manche appartient au canton de Saint-Sauveur-Lendelin et à l'arrondissement de Coutances. Les habitants du Mesnilbus étaient au nombre de 261 au recensement de 1999. La superficie est de 5.1 km².
Le Mesnilbus se situe géographiquement à une altitude d'environ 76 mètres
Christian et Michel avaient effectué la reconnaissance du circuit quelques jours auparavant. C'est donc en toute connaissance de cause qu'ils ont pu encadrer et mener les 47 randonneurs présents ce jour.
Il a fait très chaud, et le tonnerre a grondé à plusieurs reprises. Il n'en a pas fallu plus pour voir les marcheurs accélèrer le pas, de crainte d'une pluie possible.
De ce fait, les 10 km ont été avalés tambour battant.
Finalement l'orage ayant tourné, c'est seulement mouillés par la sueur que les participants ont pu regagner leur véhicule.
En cliquant sur le titre: "Le Mesnilbus" pour pourrez visualiser ou télécharger les photos
Si vous disposez d'une bonne connection haut débit vous pourrez voir le diaporama en plein écran
Cette petite commune située dans le département de la Manche appartient au canton de Saint-Sauveur-Lendelin et à l'arrondissement de Coutances. Les habitants du Mesnilbus étaient au nombre de 261 au recensement de 1999. La superficie est de 5.1 km².
Le Mesnilbus se situe géographiquement à une altitude d'environ 76 mètres
Christian et Michel avaient effectué la reconnaissance du circuit quelques jours auparavant. C'est donc en toute connaissance de cause qu'ils ont pu encadrer et mener les 47 randonneurs présents ce jour.
Il a fait très chaud, et le tonnerre a grondé à plusieurs reprises. Il n'en a pas fallu plus pour voir les marcheurs accélèrer le pas, de crainte d'une pluie possible.
De ce fait, les 10 km ont été avalés tambour battant.
Finalement l'orage ayant tourné, c'est seulement mouillés par la sueur que les participants ont pu regagner leur véhicule.
En cliquant sur le titre: "Le Mesnilbus" pour pourrez visualiser ou télécharger les photos
Si vous disposez d'une bonne connection haut débit vous pourrez voir le diaporama en plein écran
mardi 6 mai 2008
Lingreville plage
En cliquant sur le titre vous verrez les photos prises par Evelyne et André
Départ du parking de la plage .
Bordée par la mer de la Manche et le havre de la Vanlée, Lingreville est une petite commune rurale du littoral Coutançais.
C'est au parking de la plage que ce mardi 6 mai, rendez- vous avait été donné aux Randonneurs des Dunes et Bocage .
Christian avait auparavant, effectué la reconnaissance de cette randonnée en qualité d'organisateur.
Accueillis par le Président Daniel ARMAND, 53 randonneurs ont pu découvrir la nature sauvage des dunes et des havres, sur un parcours de 13km600.
Le soleil et la chaleur ont apporté une note estivale très appropriée pour une randonnée en bord de mer.
Tous les ingrédients étaient donc réunis pour une sortie réussie, et cela pour le plus grand bonheur de Christian, qui a pu voir ainsi ses efforts récompensés.
Pour s'en convaincre il suffisait de voir la satisfaction qui s'affichait sur les visages des participants.
Merci Christian pour ton heureuse initiative, et merci à la météo, mais là, vraiment tu n'y est pour rien !
jeudi 1 mai 2008
Rando en faveur du Bénin
A la demande d'une Association Coutainvillaise qui oeuvre en faveur du Bénin, notre Association a accepté de faire une randonnée ce 1er mai à Agon-Coutainville. Une trés mauvaise organisation de la partie demandeuse a généré un fiasco total. Aucune personne extérieure à notre organisation n'est venue randonner à nos côtés. Nous nous sommes retrouvés, seulement à onze le matin, pour arpenter les 8 km, d'un périple que nous devions également parcourir l'après-midi. Après un tour de l'hippodrome, soit 1km200, et étant toujours aussi peu nombreux, nous avons décidé de mettre fin à cette mascarade.
Personne ne s'est d'ailleurs rendu compte que nous avions écourté le périple prévu initialement, ce qui prouve l'inconséquence des organisateurs.
Passant devant la tribune, nous n'avons rencontré aucun responsable, et en conséquence, nous n'avons pas bénéficié d' un quelconque remerciement , ce qui aurait été la moindre des politesses.
Après cette expérience malheureuse, nous avons acquis au moins la certitude que l'an prochain les Béninois devront attendre longtemps notre concours.
Les Béninois ne sont sans doute pas responsables de cette situation, mais l'association "Abeille Bénin" devrait, elle, pour le moins se remettre en question.
Malgré le désagrément causé par cette impréparation, les 8 km du matin se sont déroulés sous un soleil radieux qui a duré toute la journée en dépit des prévisions météorologiques qui annonçaient la pluie pour l'après-midi.
Nous remercions les adhérents de "Dunes et Bocage", qui ont fait l'effort de venir, les uns le matin, les autres l'après-midi, ou encore les deux séquences pour certains..
Outre votre serviteur, qui se fait le porte parole, un grand merci à Yvette, Michel, Jean-Claude, Huguette,Daniel, Marie-France, Marie-Jo, Christian, Evelyne, Ange, Thérèse, Françoise, Serge, Annick, Francis , Jeaninne, sans oublier Maryse qui a usé de tout son charme et de sa voix pour essayer de décider les badauds à nous accompagner. En vain ! Mais aurait-elle fait plus qu'il en aurait été sans doute de même.
Quoique ?
"Donner plus pour avoir plus" . Voilà ce qui pourrait être mis à l'ordre du jour lors d'une prochaine réunion du C.A., et devenir notre slogan pour les mois à venir. Méditons !
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