mardi 4 novembre 2008

Courcy

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Courcy est une commune située dans le département de la Manche (région de Basse-Normandie). La ville de Courcy appartient au canton de Coutances et à l'arrondissement de Coutances. Les habitants de Courcy s'appellent les Courcyais et étaient au nombre de 469 au recensement de 1999. La superficie est de 11.6 km². . Elle se situe géographiquement à une altitude de 74 mètres environ.

Avant propos avant randonnée officielle:
Les photos du 31 octobre ci-après vous permettront de juger si besoin en est, combien est parfois difficile la tâche des volontaires qui reconnaissent les circuits.
Avec leurs vêtements de pluie,vous ne reconnaîtrez peut-être pas sur ces vues, Thérèse, Evelyne, Francis, Ange, Marcel.
Vous ne verrez pas Christian, et pour cause, c'est lui qui manie l'appareil photo.
Bravo à ces 6 électrons libres pour qui le devoir passe avant toute autre considération.
Croyez moi, ils ont bien mérité le petit café qu'ils ont l'air de siroter avec beaucoup de bonheur

André



Certains, peut-être, trouvent que nos sorties manquent de vitalité Pour leur démontrer qu’au contraire, nous ne souffrons pas d’atonie, je les convie à regarder les photos publiées sur ce site. .
De même, je m’adresse à tous ceux qui rêvent de s’envoler vers des contrées lointaines, à la recherche d’épopées pouvant leur procurer quelque grand frisson.
Pourquoi aller par monts et par vaux chercher périls et aventures, alors qu’à quelques encablures de chez vous, à Courcy, plus précisément, il vous est possible de vivre des moments d'une rare intensité.
A n’en pas douter les 63 participants à la randonnée Courcyaise ne me démentiront pas, car ce mardi 4 novembre, ils ont connu l’aventure avec un grand A.
Un chemin inondé, bloquant leur cheminement, il fallait voir ces femmes, et ces hommes escaladant périlleusement le talus avoisinant, pour se sortir coûte que coûte du mauvais pas dans lequel ils s’étaient fourvoyés.
A ce sujet, je dois dire qu’il ne manquait pas de volontaires mâles pour aider les dames dans leur ascension. Notre ami Christian, n’était d’ailleurs pas le dernier à exécuter cette noble tâche, en poussant fortement les croupes rebondies qui s’offraient à ses deux mains.
Je n’irai pas jusqu’à affirmer qu’il en éprouvait un réel plaisir, quoique, il est permis de se poser la question, tant il y mettait d’ardeur.
Tout ce beau monde arrivé à pied sec sur la cime, et après quelques mètres, une fois l’obstacle franchi, il fallait déjà songer a retrouver le « plancher des vaches ».

Oh! qu’elles furent sublimes ces descentes !
Certes ce n’était pas la descente aux enfers, mais tout de même ?
Une inclinaison très pentue et de surcroît très glissante, tous les ingrédients étaient réunis pour assister à de belles dégringolades, qui bien souvent se sont terminées sur les fesses.
Mesdames, vous nous avez offert un spectacle rarissime, et le photographe que je suis de temps à autre, vous remercie de lui avoir donné l’occasion de fixer ces moments de « sportivité » trop rares.
Ne voulant pas être taxé de misogynie, je dois à la vérité, de signaler que quelques hommes n’ont pas démontré plus de talents acrobatiques que leurs consœurs.
Bernard M. pour ne citer que lui, se reconnaîtra comme faisant partie du lot. .

Crottés mais heureux de tant de prouesses nos marcheurs ont pu continuer leur périple.
De ce voyage hors du temps, seules deux chutes seront à déplorer, mais sans gravité, le pronostic vital n’étant pas engagé (sic).

Dores et déjà, nous pouvons être assurés qu’après ces prouesses homériques, nos randonneurs sont fin prêts pour expérimenter le trekking .

Dans quelques décennies, lorsque la vieillesse se sera installée, assis au coin de la cheminée, ils pourront de leur voix devenue chevrotante, raconter à leurs petits enfants leurs exploits passés, et à coup sûr Courcy reviendra bien souvent dans leurs conversations « Tu vois mon enfant, ce que j’ai vécu en 2008, il y a de cela bien longtemps. C’était une aventure oh combien extraordinaire. Ah vois tu, à cette époque, nous les anciens, nous n’avions peur de rien »
Et les petits enfants ravis demanderont encore et toujours que le papy ou la mamy leur raconte une de ces aventures héroïques qui à leurs yeux, sublimeront à jamais leurs aïeux.
André

Pour que l’événement le plus banal devienne une aventure, il faut, et il suffit qu’on se mette à le raconter.
Jean-Paul Sartre





1 commentaire:

André a dit…

En regardant les photos, je crois que les bottes ne suffiront pas.
Que ceux qui ont des cuissardes, s'en munissent, ce sera plus sûr.
Pour ma part, j'envisagerais bien de m'équiper d'un masque et tuba. Ne sait-on jamais ?
Nos randonnées vont devenir de véritables expéditions.
Vive l'aventure !